Fluidité, turbulence, le contexte des entreprises change de mois en mois. Les entreprises le savent, elles doivent être agiles ! Oui, mais le peuvent-elles ?
Toutes les entreprises peuvent-elles devenir agile ? Aujourd’hui, beaucoup de dirigeants s’en rendent compte, l’agilité ne se décrète pas !
Comment passer d’un modèle rigide centralisé ou décentralisé, à une organisation où tout évolue avec intelligence et souplesse ?
Pour certains, l’agilité est un enjeu collectif. C’est collectivement, par la mise en scène d’une grande dynamique de mobilisation d’entreprise que l’intelligence, communication managériale aidant, viendrait à la collectivité.
Pour d’autres, l’agilité est d’abord un enjeu individuel. Chacun dans son comportement devrait savoir devenir agile. D’accord, mais concrètement dans l’entreprise, qui commence, qui s’y risque le premier ?
Approche individuelle, approche collective, entre les limites de ces deux extrêmes, quelle voie intermédiaire choisir ?
L’agilité ne se décrète pas, elle se suscite de l’intérieur de l’organisation
Pour nous, In Principo, l’agilité se construit par des démarches collaboratives à échelle humaine, à travers des actions concrètes managées de manière agile, des projets agiles.
Portés par des dynamiques de communautés, de réseaux, en interaction, les individus évoluent ensemble. Les acteurs sont placés par le projet en situation d’opportunité et en situation de co-action.
Le comportement agile alors se pratique, se vit, se propage. Projet agile après projet agile, entité après entité, transversalité après transversalité, c’est progressivement toute l’organisation qui devient agile.
Pour réussir cette transformation, il faut créer les conditions, initier les opportunités, et faire se développer sur celles-ci des dynamiques d’intelligence collaborative.